La transhumance éternelle m’échappe
J’essaie de sourire en me retournant
Mais fais quelques pas en arrière
Les volutes de sources pierreuses
Attirent mon regard, il s’éteint
Le souffle coupé par ma course
Je ne parviens plus à parler
Le bourdonnement des insectes m’emplit les oreilles
J’ai si froid que je ne sens plus mes doigts
Avant de m’évanouir, j’ai senti l’odeur de la mort
A mon réveil, tout a recommencé
La transhumance éternelle m’échappe
J’essaie de sourire en me retournant
Mais fais quelques pas en arrière
Les volutes de sources pierreuses
Attirent mon regard, il s’éteint
Le souffle coupé par ma course
Je ne parviens plus à parler
Le bourdonnement des insectes m’emplit les oreilles
J’ai si froid que je ne sens plus mes doigts
Avant de m’évanouir, j’ai senti l’odeur de la mort
A mon réveil, tout a recommencé